"«
Dextérité : nom féminin (1504, lat. dexteritas
, de dexter ) ; adresse des mains, délicatesse, aisance
dans l’exécution de quelque chose » (citation
extraite du Petit Robert).
Pour
une illustration moins livresque de la chose (mais ô combien
éloquente !), il fallait se trouver hier midi à
la chapelle Saint-Jean. Une heure durant, la musicienne Liu Fang,
passée maître dans la pratique du pipa et du guzheng
(les luth et cithare chinois), a littéralement subjugué
l’assistance par ses capacités d’interprète/prestidigitatrice.
Technique
ahurissante
Airs traditionnels chinois ou compositions personnelles, sa maîtrise
technique ahurissante aura à chaque fois crevé l’écran
— mais l’on retiendra surtout la poésie quasi
langoureuse de ses interprétations aussi « bluesy
» que sa veste de kimono en soie… Bref, une (belle)
surprise de plus à mettre à l’actif d’un
festival qui n’en finit pas d’élargir nos horizons
musicaux." - Emmanuel Delahaye
"Liu
Fang a une technique impeccable, elle joue avec une propreté
absolue et une musicalité profonde, elle est capable d'exprimer
toutes sortes de sensations et de sentiments...." - Lope
de Osuna, monde classique (www.mundoclasico.com),
2007.
"Si l'on
s'adonnait aux joies de la statistique, «grâce»
et «poésie» seraient sans doute les mots revenant
le plus souvent dans les critiques évoquant le jeu de Liu
Fang. «Touchants», «étourdissant»
et «subtiles» fiqueraient aussi sûrement en
bonne place…" - Ouest
France, mardi, 1 août 2006.
"...Dès
l’abord, que l’on soit ou non connaisseur, à
l’écoute de Liu Fang, toute réserve ou préjugé
est oublié, car c’est la musique qui parle ; ...."
-Lucie Rault, L'armonie, Théâtre de la Ville à Paris, 2006.
"...
une sensibilité à fleur de peau et un sens dramaturgique
sans égal ... En l'observant on devine l'amour qui l'unit
à la musique, on ressent l'unissson qui résonne
entre son être, l'instrument et surtout on partage son profond
plaisir.
... " - Mondomix,
France, 06.2006.
"...
un intermédiare qui correspond tout à fait à
la magie de la musique de Liu Fang, médiatrice
divine. ..." World,
No. 16, France, 2006.
"...
Ses thèmes lyriques s’ornent d’une mise en
scène du silence et de nuances tonales majestueuses. ...
Les sons de la Chinoise Liu Fang, virtuose du pipa, un luth à
quatre cordes, et de la cithare à vingt cordes nommée
guzheng, semblent surgis de l’âme avec une troublante
et universelle limpidité. " - GEO
magazine (France), 2006
"...
Ainsi le “pipa”, dont joue avec une grâce irréelle
la jeune virtuose chinoise Liu Fang, .... De l’autre instrument
traditionnel joué par Liu Fang ..., la cithare “guzheng”,
émane le même trouble impalpable, la même subtilité
d’évocation." - Les
Inrockuptibles, France, 2006.
« …
sensible pourtant sensationnel,… sans n'importe quel amplification,
Liu Fang a présenté un concert de presque deux heures
jouant le pipa (luth Chinois) et le guzheng (cithare)… une
expérience fascinante. Avec Liu Fang, la grand ambassadress
de la musique chinoise est venus… » - Ton
Maas, de Volkskrant, Amsterdam, the
Netherland.
"...L'idée
de méler les deux arts - la tradition inventive et le jeu
libre - ne pouvait que susciter somptueuse beauté ... ".
Dernières
Nouvelles d'Alsace, France, 2004/05/23.
« …
Autoritaire, gracieux et rivetant, Liu retournera
sûrement pour des concerts du R-U l'année prochaine,…
» - BBC
London, November 8, 2003.
"... L'idée
d'intercaler entre le mouvements du Chant de la Terre de la musique
chinoise traditionnelle, écho des anciens poèmes chinois
qui ont inspiré Mahler, pourrait sembler tirée par
les cheveux. N'en déplaise aux puristes, le résultat
se révéle si beau, si touchant qu'il paraît
tomber le sens. Les étourdissantes improvisations au luth
pipa de Liu Fang ne dérangent jamais le déroulement
de l'ouvre; bien au contraire, elles l'enrichissent: le contraste
entre l'opulence de l'orchestre et l'humble sonorité de l'instrument
traditionnel n'est pas sans rappeler la douloureuse fragilité
de poèmes ...", - Le Monde de la Musique, No. 282 (France),
décembre 2003.
"...
Véritable ambassadrice de l'art du pipa et du Zheng,
Liu Fang a d'abord offert un petit concert privé à
ses hôtes, avant de répondre aux solicitations des
éléves luthiers, visiblement conquis par la maestria
de l'artiste et désireux d'en savoir plus sur instrument
unique qu'est le pipa. ..." - La Liberté de L'Est (Mirecourt,
France), 1 décembre 2003.
"...
une soirée toute de grâce, de poésie,
de délice et de délicatesse. ... Délicatesse,
le mot résume peut-être tout l'art de Liu Fang. Une
délicatesse tout en finesse d'exécution, mise en service
de la douceur des airs traditionnels chantant les émotions
intérieures ressenties à la vue des neiges recouvrant
les forêts éternelles des montagnes . Sur les quatre
cordes du pipa, sorte de luth en forme de poire ou de goutte d'eau
perlant, ses doigts courent, volent, dansent. Le regard, yeux ouverts
sur le drame guerrier ou fermés sur l'émotion intérieure,
accompagne les notes qui jaillissent à haute volée.
. Nul besoin toutefois d'être féru en histoire orientale
pour apprécier ce concert d'exception. . ..." - Le Progres
(France), 20 novembre 2003.
"L'impératrice
du pipa: Montréal compte une des plus grandes virtuoses
du pipa, Liu Fang. ..." -Pierre Cayouette L'actualit´
15 décembre 2001, p. 90.
"...
Liu Fang est sans conteste la plus grande ambassadrice de l'art
du pipa en Amérique et en Europe .."
- Guy Marceau, La Presse(Montreal), Le mardi 26 mars 2002
"...
... Sa musique, exécutée ici en solo, nous fait passer
par toute la gamme des émotions; de l'émerveillement
naïf à la violence guerrière, de la méditation
introspective au rêve aérien, de l'extrême délicatesse
à la pulsion énergisante. L'émotion passe toujours
magistralement.", -Yves Bernard, ICI Montréal, 18 avril
2002.
"L’art
du Pipa, ce luth emblématique de la musique chinoise, dont
les origines indiquent qu’il serait venu de Perse, est à
l’honneur avec l’une de ses plus talentueuses interprètes:
Liu Fang. Résidant au Canada après un séjour
transitoire en Allemagne, de passage à Paris, elle offre
pour notre plus grand bonheur, une heure de musique comme nous l’entendons.
C’est aussi grâce à Lucie Rault, chercheuse au
Musée de l’Homme, sinologue, que nous avons pu rencontrer
cette virtuose du pipa, faisant corps avec son instrument, d’une
grâce peignant son âme. Une virtuose qui nous fait entrer
dans une écoute musicale où les difficultés
de l’instrument s'envolent vers un monde dégagé
des prouesses techniques et des figures de style. La légèreté,
le froissement du son, en accord avec le jeu de Liu Fang... et nous
devenons cette composition de la fleur de jasmin, nous devenons
ce morceau de métal accroché à l’extérieur
d’un temple, à la merci du vent."
Présenté par Caroline Bourgine, ÉQUINOXE -
Musiques du monde, L'émission du 10 SEPTEMBRE 2001, Radio
France.
Liu Fang représente
la jeune génération des grands solistes de pipa, alliant
le goût de la tradition à la virtuosité qui
lui permet d'exploiter le potentiel de l'instrument dans les limites
de l'état de grâce.
- Dr. Lucie Rault, MUSIQUES DE LA TRADITION CHINOISE Actes Sud/Cité
de la Musique, 2000, Paris, France.
"La sublime
musicalité ainsi que le jeu subtil et la maitrise sonore
des doigts de Liu Fang ont d&ecute;jà fait l'objet de
nombreux éloges. Mais l'impression majeure demeure l'étonnante
unité qu'elle forme avec son instrument, le luth pipa. Elle
semble avoir atteint avec lui une fusion telle que la musique semble
en découler toute seule -comme le jeu émane naturellement
d'un acteur, au point que l'interprète est totalement habité
par ce qui s'exprime alors. La musique que crée Liu Fang
est véritablement l'âme de ce jeu, depuis les crecendo
qui atteignent des cimes de vélocité au déliés
mélodiques les plus délicats. Faisant réellement
corps avec son instrument, Liu Fang aborde l'univers sonore de la
cithare guzheng en pleine possession d'un pouvoir artistique qui
puise au plus profond de l'énergie de la création."
- Gabriel Safdie, poèt, philosophe (Montreal, QC, Canada)
(Translated from English by Dr. Lucie Rault)
... Liu Fang
fait corps avec son instrument. Elle joue tantôt avec une
grâce des plus subtiles, tantôt avec une force surprenante,
faisant passer le public de la méditation à la frénésie.
La musicienne au doigté et à la dextérité
hors du commun a plus d'une fois étonné le public
et soulevé l'admiration des spectateurs. Si la force de Samson
résidait dans ses cheveux, celle de Liu Fang est sans contredit
dans ses doigts! ...
Critique - FESTIVAL D'ÉTéQUÉBEC
"Doigts
de fée sur les cordes de soie - Récital de Pipa et
de Guzheng par Liu Fang - Le talent de cette jeune musicienne chinoise
qui unit énergie, sens esthétique et inspiration,
semble se jouer des redoutables difficultés techniques de
deux instruments à cordes traditionnels pour nous faire entrer
sans effort dans une musique raffinée et hautement appréciée
depuis l'époque Tang jusqu'à nos jours."
- Dr. Geneviève Dournon, directrice de la Musée des
Arts Asiariques, Nice, France, 2002.
"Liu
Fang est une remarquable virtuose du pipa, le luth chinois. Elle
joue avec une grâce et une présence qui dépeint
l'âme du pipa: elle fait corps avec l'instrument. Parmi ses
concerts solistes internationaux, elle a donné à onze
ans une prestation devant la Reine d'Angleterre. D'un brio et d'une
musicalité inégalés, elle nous fait passer
d'une frénésie "viscérale" à
un silence profond et méditatif qui enchante l'esprit. Aussi
interprète de talent du guzheng, une cithare chinoise, Liu
Fang fascine par une technique et un doigté qui semble carresser
l'instrument; elle joue avec une savoir-faire qui découle
d'une impeccable formation et d'une discipline hors pair. Cette
artiste continue d'étonner et de déconcerter son public.
Liu Fang conquit son auditoire dès les premières notes!
" Janet Lumb,
directrice artistique, Festival du patrimoine asiatique de Montréal.
(translated from English by Bruno Deschenes)
"Que
penser du récital de pipa et de guzheng, donné par
Liu Fang à Paris? Un véritable régal pour les
oreilles, les yeux, le coeur et l'âme ... Avec une musicienne
d'exception comme elle, on oublie les grandes difficultés
techniques pour entrer de plain-pied et en toute sérénité
dans un merveilleux paradis musical...
La grande technique de Liu Fang a toujours été au
service de la musicalité Elle exécute les chefs d'oeuvre
de la musique chinoise non seulement avec ses doigts, mais aussi
avec son coeur, et son corps gracile. Elle se confond avec la musique.
Elle excelle au pipa. Mais elle est aussi merveilleuse au guzheng.
..."
Prof. Dr. Trân Van Khe/B>, Membre d'honneur du Conseil
international de la musique (UNESCO)
Liu Fang a
particulièrement touché les festivaliers avec ses
deux solos au pipa... Grattant et pinçant les cordes de ses
cinq doigts qui portent chacun un plectre, la Montréalaise
d'origine chinoise obtient des effets qui peuvent passer de l'aérien
au foudroyant. Tout particulièrement dans la pièce
Embûche écrite 200 ans avant Jésus-Christ et
qui raconte la tragédie survenue lors d'une grande bataille,
elle a surpris avec des effets démontrant que les compositeurs
contemporains sont loin d'avoir tout inventé L'interprète
classique a déployé un jeu à faire pâlir
plusieurs guitaristes rock par sa vigueur, sa rapidité et
ses effets. Les paysages sonores se sont succédé faisant
vivre les phases de la confrontation jusqu'à la déroute,
dernier passage qui aurait facilement pu être écrit
par un compositeur de musique actuelle.
PIERRE-PAUL NOREAU, Le Soleil, Arts et spectacles, DI 14 JULLIET
2000
"Disons-le
sans détour, Liu Fang est une remarquable virtuose du pipa,
le luth chinois. Elle fait corps avec l'instrument, joue avec grâce
et offre une présence, tient-on à préciser,
qui dépeint l'âme du pipa.... D'un brio et d'une musicalité
inégalés, Liu Fang nous fait passer par une frénésie
qui enchante l'esprit."
-Pierre Duquet, Quebecplus
"...
du pipa chinois de l'irréprochable Liu Fang (une virtuose,
rien de moins) ..."
- Alain Brunet, La Presse D8, Arts et spectacles Jeudi 27 avril
2000
"On peut
d'ailleurs penser à LIU FANG ..., une très grande
maîtrise du pipa, un autre instrument grandiose qui fait partie
de la famille des luths et qui date de deux mille ans! Son disque
à caractère plus intimiste et méditatif a été
complètement réalisé au Québec..."
- Yves Bernard, Présence asiatique fascinante
"J’au
vu le concert que vous donniez hier avec Farhan Sabbagh à
la maison de la culture Frontenac et j’en suis ressorti ébloui
par votre maîtrise de l’instrument et votre musicalité
Il y a une chaleur, une âme, dans votre musique et j’ai
beaucoup aimé la poésie qui se dégage de vos
interprétations, je pense en particulier au «Song of
Tie-Ma à la «Romance of Red River Valleyé au
«Dragon Boat Festival et tant d’autres. J’ai aussi
été surpris par ce mariage des musiques chinoises
et arabes, mais aussi par la musique italienne - I’o Vol bene
- du Moyen-âge. Votre musique est une révélation,
une joie pour le coeur. Merci." -Philippe Trolliet, Quebec,
Canada
"Liu
Fang's Passionate Pipa - Traditional Chinese Music is in Her Heart
and Soul": interview by Paula E. Kirman of the "World
Music at About", June 24, 2001.
" ...
le pipa (sorte de luth) de la jeune Liu Fang, au style très
expressif, ..."
- Nora Ben Saadoune, La Presse, Montreal, Mercredi 7 Avril 1999.
"...
Liu Fang a un style caracterisé par des dynamiques bien articulées
et un lyrisme inspiré" - Les classiques du Monde, Musique-Multi-Montréal,
March 28, 1999.
"Le pipa,
luth d'origine chinoise, est l'un des plus vieux instruments de
musique au monde. Liu Fang rend bien l'esprit de cet instrument
par sa virtuosite. ..." - Montreal Asian Heritage Festival,
May 13, 1998.